Réflexion excessive sur le contrôle des solénoïdes

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Jul 12, 2023

Réflexion excessive sur le contrôle des solénoïdes

Aucun circuit n’est si trivial qu’il ne vaut la peine d’y réfléchir sérieusement. [Charles Wilkinson] voulait piloter une électrovanne d'air qui resterait ouverte pendant de longues périodes. Cela signifie réduire la détention

Aucun circuit n’est si trivial qu’il ne vaut la peine d’y réfléchir sérieusement. [Charles Wilkinson] voulait piloter une électrovanne d'air qui resterait ouverte pendant de longues périodes. Cela signifie réduire le courant de maintien pour éviter de gaspiller autant d’énergie. Il est tombé sur cet article qui couvre une approche avec une profondeur ridicule.

[Charles] a réalisé deux vidéos à ce sujet, une dans laquelle il débogue le circuit et apprend des choses en direct devant la caméra, et une autre où il résume tout cela. Nous allons vous guider tout au long de la partie longue, mais n'hésitez pas à sauter le pas.

Les solénoïdes sont plus difficiles à ouvrir au départ qu’à rester ouverts. Alors [Charles] a branché son solénoïde à une alimentation variable et a testé les tensions d'activation et de libération – car rien ne vaut les données empiriques. Il augmente lentement la tension (autour des minutes 6-7) et elle se déclenche juste à 3,5 V. En testant lorsque le solénoïde se referme, il atteint le fond de son alimentation variable à 1,25 V. Quoi qu'il en soit, vous comprenez : une tension d'ouverture plus élevée, tension de maintien inférieure.

Et c'est le but du circuit de Bob Pease dans l'article lié. Le condensateur laisse passer le courant initialement, mais se charge ensuite avec le temps, de sorte que moins de tension chute sur le solénoïde, réduisant ainsi la tension de maintien. L'astuce consiste alors à choisir la résistance et le condensateur qui correspondent exactement aux caractéristiques de votre solénoïde.

Dans la vidéo, [Charles] construit le circuit, vers la minute 30, et découvre que ça ne marche pas. Au lieu de modifier cela, il dépanne en direct. (Brave !) Il échoue et se déconnecte. L'éventuel problème ? Il alimentait le circuit via USB, tout en chargeant son téléphone en même temps. Il n'avait tout simplement pas assez de puissance dans son alimentation. Et puis, après dix minutes supplémentaires de débogage intermittent, il ajoute un condensateur tampon à ses rails d'alimentation et les problèmes disparaissent.

Il y a deux choses à retenir de tout cela. Le premier est un circuit simple mais élégant que vous pouvez utiliser pour piloter des solénoïdes, des relais ou tout autre objet ayant une forte demande de courant initiale. La seconde est l’importance d’une alimentation stable et d’une mise en mémoire tampon.